vendredi 8 juin 2007
jeudi 31 mai 2007
« LES LOUPS ENTRE EUX »
Dimanche 3 Juin 2007
La politique du député sortant a consisté à négliger totalement les attentes et les besoins des citoyens. Sa réélection conduira à une érosion de la situation actuelle : des projets divers sans aucune cohérence qui s’embourbent, des conflits de pouvoirs avec et entre les élus des communes de la 7e circonscription, une absence de projet commun et concerté avec les populations.
En l’absence de stratégie et de maillage entre les compétences, les sources de développement ont été inexploitées. Les effets ont été très négatifs sur le niveau de l’emploi et le pouvoir d’achat.
L’absence d’action suite à l’effondrement des Chantiers navals de la Seyne sur Mer à conduit à une déstructuration du territoire. L’activité économique est ailleurs …
La politique menée par le gouvernement de droite a provoqué une dégradation brutale. La nette diminution des ressources publiques et la spirale de licenciements et de faillites sont catastrophiques. L’absence d’investissement a provoqué un grand nombre de fermeture car les PME locales ne sont pas parvenues à atteindre une taille critique suffisante. Une personne sur 10 vit aujourd’hui en France avec 15 à 25 euros par jour pour manger, payer son logement, ces factures, s’habiller…Une fois le logement payé il ne reste que 2 à 3 euros par jour pour se nourrir et payer tous le reste. Les conséquences de la pauvreté sont nombreuses et scandaleuses : une mauvaise alimentation (5% de la population française n’a pas les moyens de manger de la viande, du poulet ou du poisson, 3% des ménages ne parviennent pas à prendre un repas complet tous les jours), un habitat insalubre ou l’absence de logement, une situation de surendettement, la fréquentation des associations d’entre aide…
Les augmentations de loyers, des prix d’acquisitions des logements élevés et l’absence de logements sociaux mettent les familles varoises en situations difficiles (pauvreté ou précarité).
Le Var compte plus de pauvres qu’il ne devrait compte tenu de sa richesse et de sa dépense.
Il n’y a pas de politique globale de lutte contre la pauvreté en France, pas plus qu’il n’existe de politique de réduction des inégalités.
La réduction de la pauvreté est intimement liée à la situation de l’emploi sur le plan local.
Par ailleurs, l’absence de plan concerté d’organisation territoriale et de protection de l’environnement risque fort d’avoir à moyen terme des conséquences importantes sur les ressources naturelles et sur le développement touristique.
Les acteurs et décideurs locaux se sont repliés sur leurs prérogatives et ne peuvent trouver des solutions durables aux problèmes.
J’ai l’ambition de rassembler et de trouver des solutions durables aux problèmes dans la concertation avec les citoyens : une véritable coopération qui transcende les intérêts individuels.
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LE CONTRE-POUVOIR : UNE URGENCE !
Jeudi 31 Mai 2007
L’urgence impose de confier à la gauche le rôle de contre-pouvoir au Parlement, face à un président qui concentre tous les pouvoirs entre ses mains le Sénat, le Conseil constitutionnel, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et le Conseil supérieur de la magistrature. L’urgence est de rétablir la confiance en la jeunesse de cette France que nous aimons tous.
L’urgence est d’opposer un contrepoids qui sera utile face aux ambitions de l’UMP : nouveau contrat de travail unique de type CNE, réduction du droit de grève, remise en cause des régimes spéciaux de retraite... L’urgence est de dénoncer le mythe du « travailler plus pour gagner plus ». Combien de salariés n’ont jamais vu leurs heures supplémentaires payées ? Des millions de salariés subissent depuis longtemps le travail partiel alors qu’ils ont toujours souhaité travailler à temps complet pour avoir un salaire digne. Les heures supplémentaires sans charges n’aggravent-elles pas le chômage ? Pourquoi embaucher, si le travail effectué avec les heures supplémentaires, a un coût inférieur à celui correspondant à un nouveau recrutement ?
C’est l’employeur qui décide des heures supplémentaires et des rémunérations et non l’inverse.
L’urgence est de s’opposer à la destruction des services publics par l’aggravation du désengagement de l’Etat et la diminution du nombre de fonctionnaire (un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ne sera pas remplacé). En une génération le nombre d’infirmières, de policiers, de pompiers, d’enseignants, de juges…, aura diminué de moitié.
L’urgence est d’agir contre l’injustice fiscale avec des réductions d’impôts dont les très riches, les groupes financiers et industriels, seront les bénéficiaires.
L’urgence est de réagir aux conséquences de la politique sécuritaire tous azimuts : fichiers, répression et suppression du secret professionnel. L’entassement des lois répressives diminue la liberté de chacun.
Il faut des députés utiles aux attentes sociales : emploi, logement, pouvoir d’achat, retraite.
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lundi 9 avril 2007
A LA REGION, LES ACTIONS
A LA REGION ET POUR LE VAR, DES ACTIONS CONCRETES POUR L’EMPLOI, LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE, L’AGRICULTURE, L’EDUCATION ET LA FORMATION, LE DEVELOPPEMENT DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION.
Voici les principales actions menées par Laroussi Oueslati (Conseiller régional), Mireille Peirano (Conseillère régionale) et les élus de la gauche unie en région PACA et pour le Var.
jeudi 5 avril 2007
Présentation de ma candidature
PRESENTATION DE MA CANDIDATURE :
Le 10 et le 17 juin prochains, vous serez amenés à choisir votre nouveau député pour la 7ème circonscription du Var (La Seyne, Saint Mandrier, Six-Fours, Sanary, Bandol, Ollioules, Evenos).
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Le député sortant, élu depuis 5 ans, a laissé la 7ème circonscription du Var à l’abandon. Il présente un bilan calamiteux et porte une lourde responsabilité dans les difficultés actuelles.
Le choix de votre nouveau député sera déterminant pour améliorer la vie dans les communes de La Seyne, Saint Mandrier, Six-Fours, Sanary, Bandol, Ollioules et Evenos et pour construire l’avenir d’une population de plus de 137000 habitants.